Rappelez-vous de l’appel de Mme Sophie SPILL STRASSER :
Au nom de l’association, Sophie remercie les donateurs pour leur générosité qui permettra d’atténuer un peu les rigueurs de l’hiver de certaines personnes dans la détresse.
Ci-dessous le résultat de la collecte des parents d’élèves de l’école de Lembach :
Les petits visiteurs, une soixantaine d’enfants, étaient accompagnés par la directrice Christa Von Vanroy, les éducatrices Silke Becker, Andrea Kessel et l’intervenante en langue française Sylvie Stoquert.
Les jeunes de Lembach avaient préparé et confectionné la veille des galettes des Rois (gâteaux au yaourt et amandes) que leur a cuites le boulanger local André Bischung. Après une ronde et un accueil dans la langue de l’autre, les enfants de « hiwe un driwe » ont partagé les galettes en guise de goûter.
Ils se sont ensuite répartis en groupes mixtes sur quatre ateliers de coloriage, de découpage, de fabrication de couronnes et de jeux. Les enfants se sont aussi fait expliquer que pour l’Épiphanie, les traditions ne sont pas les mêmes de part et d’autre de la frontière : côté alsacien, ce sont galettes, fèves et tirage des Rois ; côté palatin, ce sont des enfants déguisés en Rois mages qui font du porte-à-porte pour quêter pour une bonne cause.
texte et photo : H. Kettering
L’INPES a édité une brochure qui donnent des conseils pour éviter d’en attraper, savoir si on en a et s’en débarrasser.
A base de dessins accompagnés de légendes simples, ce document destiné aux parents répond à trois questions : Comment savoir si votre enfant a des poux ? Comment s’en débarrasser ? Que faire pour que votre enfant n’ait pas de poux ?
Vous pouvez télécharger la brochure en cliquant sur l’image c-dessous.
Jeanne est une costumière de haute renommée qui a hérité d’un drôle d’objet : une valise de bobines magiques qui lui permet de recevoir les inspirations de ses futures créations. Dans son atelier, en travaillant, elle aime inventer des histoires mais, bercée par le rythme de sa machine à coudre, elle s’endort. C’est alors que les personnages qu’elle invente vont prendre vie et l’un d’eux dérobe une bobine de fil magique…
Texte, mise en scène, scénographie et marionnettes : Priscilla Jean-Baptiste.
Jeu, chant et danse : Fiona Chaudon.
Chant, percussions, bols en cristal et manipulation : Priscilla Jean-Baptiste.
Regard à la mise en scène : Étienne Bayart.
Création lumière : Morgane Viroli.
C’est sans aucun doute, les chants des écoliers, en particulier Petit Papa Noël , qui a attiré l’attention du Père Noël, de passage dans la rue. Ainsi, l’homme en rouge a poussé la porte de l’école pour ne découvrir que des enfants sages. Il a donc décidé de les récompenser en remettant à chacun un petit cadeau.
Après l’émotion, un goûter n’était pas superflu, surtout qu’il a été agrémenté de Bredle confectionnés en classe par les enfants quelques jours auparavant.
« Vaiana : La Légende du bout du monde » ou « Moana » au Québec est le 137e long-métrage d’animation et le 56e « Classique d’animation » des studios Disney. Il est réalisé par Ron Clements et John Musker. L’intrigue du film s’inspire librement des figures de la mythologie polynésienne.
Synopsis :
Il y a 3 000 ans, les plus grands marins du monde voyagèrent dans le vaste océan Pacifique, à la découverte des innombrables îles de l’Océanie. Mais pendant le millénaire qui suivit, ils cessèrent de voyager. Et personne ne sait pourquoi…
Vaiana, la légende du bout du monde raconte l’aventure d’une jeune fille téméraire qui se lance dans un voyage audacieux pour accomplir la quête inachevée de ses ancêtres et sauver son peuple. Au cours de sa traversée du vaste océan, Vaiana va rencontrer Maui, un demi-dieu. Ensemble, ils vont accomplir un voyage épique riche d’action, de rencontres et d’épreuves… En accomplissant la quête inaboutie de ses ancêtres, Vaiana va découvrir la seule chose qu’elle a toujours cherchée : elle-même.
Voici la bande annonce du film :
Cette sortie sera entièrement prise en charge financièrement par la Coopérative de l’école.
Dans les locaux de l’école Henri Mertz de Lembach, la fabrique du Père Noël a ouvert ses portes ce vendredi 18 novembre 2016.
Pour faciliter le démarrage de l’activité, plusieurs parents se sont portés volontaires pour aider nos petits lutins lors du lancement de la fabrication de notre premier produit phare, un kit de riz au lait.
Dans un souci d’efficacité, le travail « à la chaine » a été privilégié.
Plusieurs postes ont été installés.
– Poste découpage
– Poste collage (des éléments de la boîte)
– Poste pliage
– Poste collage de la boite
– Poste « riz »
– Poste « sucre »
– Poste étiquetage
– Poste rangement
Chaque lutin ayant été désigné par tirage au sort, occupait le même poste pendant toute la durée du processus de fabrication, ce qui a permis, après un passage de la commission « qualité », d’améliorer et de rectifier les éventuels défauts de fabrication.
En 3 heures, une centaine de kits a été réalisée.
Pour une première, le résultat est plus que satisfaisant.
Le rendez-vous est donné, samedi le 3 décembre au marché de noël sur la place de la mairie pour la mise en vente.
Toutes les photos de l’activité sont disponibles sur l’album photos de l’école.
Un jour elle décide de sortir pour trouver le printemps. Elle parle à un arbre et lui demande où est l’esprit des 4 saisons. L’arbre lui dit de passer sous le porche avec Sacha le fermier pour arriver à l’automne. Ils passent sous le porche et rencontrent la fée de l’automne qui leur dit que l’esprit des 4 saisons n’est pas ici. La fée leur montre qu’en automne on trouve des champignons, les feuilles tombent, il fait frais, il pleut, les cerfs brament. La fée de l’automne leur dit d’aller voir Blanche, la fée de l’hiver. Ils doivent de nouveau passer sous le porche.
Ils arrivent en hiver mais Blanche leur dit que l’esprit des 4 saisons n’est pas là. Elle leur montre qu’en hiver il fait froid, il neige, les loups cherchent à manger, les marmottes hibernent. La fée de l’hiver leur dit d’aller voir Violette, la fée du printemps. Il doivent encore passer sous le porche.Ils arrivent au printemps. L’esprit des 4 saisons n’est pas là. Violette leur montre qu’au printemps les fleurs poussent, les arbres deviennent vert, les animaux se réveillent et cherchent à manger. La fée leur dit d’aller voir Mirabelle, la fée de l’été. Ils doivent passer sous le porche.
Mirabelle leur montre qu’en été il fait chaud, c’est les vacances. Anouchka a vu toutes les saisons et maintenant elle les aime toutes.
C’était un beau spectacle.
Texte élaboré par les GS avec la maîtresse
Début septembre les classes de CP et de CE1/CE2 sont allées se promener dans le jardin de la paix.
Les élèves du CE1 se sont réjouis à la vue des nombreuses fleurs multicolores qui ont poussé pendant l’été malgré la sécheresse ! C’est avec fierté qu’ils ont montré le fruit de leur travail du printemps dans le jardin à leur nouvelle maîtresse et aux nouveaux élèves du CP qui prendront la relève dès cet automne pour les travaux d’hivernage !
Les enfants en ont profité pour prélever différentes graines et semences pour l’an prochain.
Nous vous invitons chaleureusement à découvrir cet endroit en famille pour y passer un bon moment quelque soit la saison !
Par décision du conseil municipal du 30 août 2016 et suite à la fusion des écoles maternelle et élémentaire pour la rentrée 2016, l’école se voit attribuer un nom officiel :
Voici les informations sur ce poète né au village et trouvées sur heimetsproch.fr
Henri MERTZ (1919 – 1999)
Né dans le nord de l’Alsace, à Lembach, Henri MERTZ a été instituteur à Graffenstaden (1945 – 1961), puis professeur au collège de cette ville (1961 – 1976), où il enseigna les mathématiques. Il avait fait la guerre dans la Wehrmacht, puis dans l’armée française.
Il n’était pas un « Heimatdichter », ni un représentant de la « Blümchenpoesie » (Charles STAUFFER), mais plutôt un poète satirique et protestataire, plus proche d’ André WECKMANN.
On lui doit trois recueils de poésies dialectales :
KUDDELMUDDEL ÜS EM ELSASS (1975)
S’ WESCHPELNESCHT (1976)
DE RORAFF (1980)
Ces trois recueils portent le même sous – titre : LIEDER, VERSLE UN SATIRE (Chansons, vers et satire).
On lui doit aussi deux traductions de l’œuvre du célèbre humoriste allemand Wilhelm BUSCH : MAX UN MORITZ (1865) : une traduction en bas – alémanique (1982) et une autre en français (1996). Dans sa jeunesse, il avait écrit un opuscule en dialecte (ÜS MINEM ARME ELSASSLÄNDEL, 1946), et un recueil d’aphorismes en français : AU SIECLE DES HOMMES SANS TÊTE (1948) qui n’ont pas rencontré l’écho souhaité.
On peut noter ses dons de versificateur, la violence de ses incantations et sa virtuosité dans l’art de la satire.
ELSASS
Liewi Bächle, stilli Strässle,
Holder, Schleh un Heckeroesle,
Burje uf de Felsekant,
Alti Hieser, klari Brinne,
Doerfle mit viel Sehnsucht drinne,
Elsass, Dü min Heimetland!
Blueme an de Fenschterschiewe,
Diewle, wo sich d’ Schnäwel riewe,
Pärle, Kneckes, sorjelos,
Gänsle, wo so luschtig schnättre,
Bibble mit un ohne Feddre,
Elsass, Dü bisch ganz famos!
Kitsch im Hof un Kitsch im
Garte, Flasche, Pneus vun alle Arte,
Plastik-Stoerig-Zwerig-Reh,
Strosse voller Schnokeloddel,
Polka-Deppe, Trachtedoddel,
Narreland, o je, o weh!
Du min Volik, geh Dich b’sinne,
Trink an Dine Wunderbrinne,
Trink Dich rein un jung un frisch!
Trink Dich g’sund, kürier Dich inne,
Trink, solang noch Quelle rinne,
Trink, solang noch Hoffnung isch!
