Robert était comme un arbre. Il avait ses racines : son village natal de Nehwiller, auquel il est resté fidèle tout en se sentant pleinement Lembàcher, ses forêts, celle de son enfance, celle où il a exercé pendant quarante ans son métier de bûcheron, et sa forêt d’adoption de Lembach, ses jardins, celui de la maison …